Achaque fois que je te vois. Je me gave de tous tes sourires. Me dĂ©lecte de tes souvenirs. Comme si c'Ă©tait la derniĂšre fois, Djemaa. Que je te vois, Djemaa. Et puis si c'la ne suffit pas. Je t'emmĂšne dans tous mes voyages. Des histoires sans SachaGuitry, 1923, La derniĂšre reprĂ©sentation d'une piĂšce « À minuit le rideau s’est fermĂ© pour la derniĂšre fois » « La DerniĂšre reprĂ©sentation d'une piĂšce. J'ai assistĂ© ce soir Ă  la mort d'une chose que j'avais conçue, créée, que j'ai fait vivre pendant six mois et qui me l'a rendu largement. C'est fini. À minuit le rideau CĂ©tait quand la derniĂšre fois ? avec Virginie Hocq et Zinedine Soualem Casino Théùtre BarriĂšre, Bordeaux - Cet Ă©vĂ©nement n'est plus disponible Ă  la rĂ©servation dans cette salle - En ce moment dans cette salle : New york gospel choir Remember Gala d'etoiles La troupe du jamel comedy club Théùtre: Théùtre Tristan Bernard – 64, rue du rocher 75008 Paris. Locations : 01 45 22 08 40 et FNAC – TICKETNET et points de vente habituels . Tarif : Mardi – Jeudi – Vendredi – Samedi : de 10€ Ă  38€ - Mercredi : de 10€ Ă  32€ Moins de 26 ans : 10 € DurĂ©e : 1h30 CĂ©tait quand la derniĂšre fois ? Synopsis; Casting; AnnĂ©e de production : 2019; Genre : Théùtre ; DurĂ©e : 105 min. Synopsis . Lors d'un dĂźner qui promettait d'ĂȘtre aussi morne que les oĂčcet Ă©vĂ©nement eut lieu : Ferme des Communes, 77700 Serris C'Ă©tait quand la derniĂšre fois ? avec Virginie Hocq, Zinedine Soualem Ferme des Communes, Serris - Cet Ă©vĂ©nement n'est plus disponible Ă  la rĂ©servation dans cette salle - Fiche Ă©vĂ©nement Critiques 102 critiques avec une note globale de 8/10 7Vp6DX. Les 1er et 2 juillet, les Ă©lĂšves de l’école Pierre Claver ont jouĂ© deux reprĂ©sentations de Britannicus Ă  Paris. RĂ©fugiĂ©s en France depuis quelques annĂ©es ou seulement quelques mois, ils ont apprivoisĂ© le texte en vers de Racine pour prĂ©senter un Britannicus qui parlait d’eux et de leurs parcours. Dans la piĂšce, Montasser Idhhiba, un Libyen de 24 ans, incarnait le tyran NĂ©ron. Il a racontĂ© Ă  InfoMigrants son expĂ©rience d’acteur. Dans le Britannicus montĂ© par les Ă©lĂšves de l’école Pierre Claver [qui propose des cours de français ainsi que des activitĂ©s culturelles et sportives aux rĂ©fugiĂ©s, NDLR] les 1er et 2 juillet 2018 Ă  Paris, Montasser Idhhiba incarnait le tyran NĂ©ron, assassin de son frĂšre adoptif Britannicus. Dans la vie de tous les jours, ce Libyen de 24 ans, arrivĂ© en France en 2014, est pourtant un modĂšle de douceur. ProfondĂ©ment marquĂ© par l’expĂ©rience du jeu au sein de la petite troupe qui a montĂ© Britannicus, il est revenu pour InfoMigrants sur ce projet. "Nous avons commencĂ© Ă  prĂ©parer la piĂšce fin dĂ©cembre Ă  l'Ă©cole Pierre Claver avec l’aide des tuteurs de l’école. Ils nous ont bien expliquĂ© le texte pour que nous le comprenions. Bien sĂ»r, c’était difficile au dĂ©but mais, tout Ă  coup, on Ă©tait complĂštement dedans. Je n’avais jamais vraiment fait de théùtre avant. Je ne connaissais pas du tout Racine et tout ça mais le texte m’a beaucoup aidĂ© Ă  amĂ©liorer mon français. Je pense essayer de m’inscrire dans une Ă©cole de théùtre ou bien au conservatoire Ă  la rentrĂ©e. Quand on a commencĂ© Ă  prĂ©parer la piĂšce, on a vu un film de Britannicus qui datait de 2010-2011, je crois. Je me suis dit que je ne pouvais pas incarner le personnage de la mĂȘme façon, qu’il fallait que je trouve une autre maniĂšre de jouer. 'NĂ©ron me fait un peu penser Ă  Kadhafi' Bien sĂ»r, la piĂšce parle un peu de chez moi, la Libye, mais aussi de la Syrie, de l’Afghanistan. Avec les autres acteurs, Ă  chaque fois que l’on prĂ©parait des scĂšnes et que l’on comprenait ce qu’il se passait, cela nous rappelait ce que nous avions vĂ©cu dans nos pays. Personnellement, NĂ©ron me fait un peu penser Ă  Kadhafi, mais il peut reprĂ©senter tous les tyrans du monde. En fait, chacun de nous savait que cette histoire parlait aussi bien de nous que des autres. Racine parle de tous les humains, pas d’une situation en j’étais sur scĂšne, j’étais totalement dans mon personnage mais je pensais aussi parfois Ă  ma famille. On veut ĂȘtre totalement le personnage que l’on incarne mais, en jouant, on voit aussi parfois des images de choses que l’on a vĂ©cues. 'Nous voulions montrer aux autres qu’il ne faut pas avoir peur de se lancer' Mais on a profitĂ©, on a trouvĂ© de la joie et du plaisir dans le fait de jouer. L’objectif de nous tous, en tant que jeunes rĂ©fugiĂ©s, c’était aussi de montrer Ă  toutes les personnes qui galĂšrent ici qu’il ne faut pas rester Ă  rien faire, qu’il ne faut avoir peur de se lancer. Nous voulions ĂȘtre une source d’inspiration pour les autres. Aujourd’hui je suis serveur au restaurant LĂ©on de Bruxelles – que j’ai rebaptisĂ© NĂ©ron de Bruxelles’ – et je continue Ă  aller Ă  l’école Pierre Claver. J’ai commencĂ© Ă  frĂ©quenter l’école en septembre 2015 et cela a changĂ© ma vie. Quand j’y vais, je retrouve les autres acteurs de la piĂšce. On passe du temps ensemble, on donne un coup de main s’il y a besoin. Je retrouve lĂ -bas par exemple l’acteur qui jouait Britannicus, il s’appelle Tofan Dulat Zay, il est afghan. Lui aussi a adorĂ© jouer la piĂšce. On rĂ©pĂ©tait souvent ensemble. On adorait surtout jouer la scĂšne 7 de l’acte III. C’était notre prĂ©fĂ©rĂ©e. Dans cette scĂšne, il y a lui, moi et Junie [interprĂ©tĂ©e par la danseuse syrienne Yara Alhasbani NDLR]. Pendant qu’on prĂ©parait la piĂšce, dĂšs qu’on se voyait, je lui lançais Prince, continuez des transports si charmants [
]’ et lui il me rĂ©pondait. Je suis un peu triste que tout soit fini. Mais je suis fier de toute la troupe, de tout ce qu’on a vĂ©cu, de tout ce qu’on a fait, de ce qu’on voulait faire comprendre aux gens, du message qu’on voulait envoyer. Culture ScĂšnes En dĂ©pit de sa voix de velours et de sa prĂ©sence unique, le comĂ©dien, mort vendredi Ă  91 ans, n’aura rĂ©ussi son grand rendez-vous avec la scĂšne qu’au soir de sa vie, avec la forme des rĂ©citals. Article rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s Il commence comme un enfant restĂ© seul J’entends mon cƓur qui bat, c’est maman qui m’appelle. » Jean-Louis Trintignant sait qu’il n’en a plus pour longtemps quand il choisit de dire ces mots de Jules Laforgue 1860-1887, le 28 janvier 2018, Ă  Radio France. Ce soir-lĂ , l’acteur fait un enregistrement public, dont le CD paru en juin 2018 restera comme son testament. Daniel Mille est Ă  l’accordĂ©on, GrĂ©goire Korniluk au violoncelle, Diego Imbert Ă  la contrebasse, ils jouent des musiques d’Astor Piazzolla, et Jean-Louis Trintignant les Ă©coute comme il Ă©coute battre son cƓur au rythme des poĂštes libertaires qu’il aime, Boris Vian, Robert Desnos, Guillaume Apollinaire
 Lire aussi Jean-Louis Trintignant, l’acteur qui voulait rester clandestin, est mort D’Aujourd’hui je me suis promenĂ©, de Robert Desnos, Ă  Je voudrais pas crever, de Boris Vian, en passant par Mon ptit Lou adorĂ©, de Guillaume Apollinaire, et Cher frĂšre blanc, de LĂ©opold SĂ©dar Senghor, c’est un cƓur vivant, Ă  gauche, amoureux et revenu de tout qui nous parle, de cette voix magnifique dont le temps n’a pas altĂ©rĂ© l’élĂ©gante mĂ©lancolie. Une voix qui se souvient, qui va et vient entre hier et aujourd’hui, dans l’instant frĂ©missant du trĂšs grand Ăąge. Chaque jour, Jean-Louis Trintignant disait qu’il allait mourir et, chaque jour, il semblait trouver une lueur de bonheur, comme dans celle de faire connaĂźtre un poĂšme de son petit-fils Paul Cluzet, Je dors Ă  l’ouest, que l’on entend dans l’ultime CD. S’oublier en s’exposant Lire aussi Jean-Louis Trintignant Le vin et la poĂ©sie sont toujours liĂ©s » L’acteur vivait la vieillesse comme une expĂ©rience contemplative, et il aimait s’oublier en s’exposant devant des spectateurs, au théùtre, Ă  qui il disait merci d’ĂȘtre venus », comme s’il s’excusait d’ĂȘtre lĂ  pour dire ses poĂšmes prĂ©fĂ©rĂ©s. Il y aurait eu une coquetterie dans cette attitude si Jean-Louis Trintignant n’avait pas tout connu, et s’il ne lui Ă©tait pas restĂ© un fond de la timiditĂ© qui le tĂ©tanisait quand il apprenait le mĂ©tier, dans sa jeunesse. C’était Ă  Paris, dans l’immĂ©diat aprĂšs-guerre. Et c’était arrivĂ© d’une maniĂšre banale un jeune homme suit mollement des cours de droit, en province. Un comĂ©dien passe dans la ville, il va le voir. Et lĂąche le droit, parce qu’il a compris que sa voie Ă©tait sur scĂšne. Ainsi fit Jean-Louis Trintignant, Ă  Aix-en-Provence, aprĂšs que Charles Dullin 1885-1949 y eut jouĂ© L’Avare. Il monta dans la capitale, apprit, se trouva mauvais. Mais il avait une prĂ©sence que les metteurs en scĂšne ont aussitĂŽt repĂ©rĂ©e. DĂšs 1950, Jean-Louis Trintignant s’aguerrit dans les petites salles de la rive gauche oĂč s’invente le théùtre d’art. Il est encore un dĂ©butant » quand Le Monde le remarque dans une piĂšce de Robert Hossein, ResponsabilitĂ© limitĂ©e, en 1954. Il vous reste de cet article Ă  lire. La suite est rĂ©servĂ©e aux abonnĂ©s. Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil Ă  la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. DĂ©couvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil Ă  la fois ordinateur, tĂ©lĂ©phone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous ĂȘtes la seule personne Ă  consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez Ă  lire ici ? 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Un Ă©change captĂ© par Cyril Viguier, Ă  qui l'acteur avait accordĂ© une longue interview pour TV5 Monde, mais jamais diffusĂ© jusqu'Ă  ce jour Ă  la tĂ©lĂ©vision."Je ne me permets pas de conseiller quelque chose qui appartient Ă  chaque personne", livrait Bernard Tapie, invitĂ© Ă  donner sa vision de la mort Ă  Alain Delon. "Pour ma part, la mort, c'est une Ă©tape de l'existence. Je continue de penser que c'est une Ă©tape seulement. Et que l'existence, elle va bien au-delĂ . Quand Brigitte Bardot va partir, plein de gens, dont moi, vont ĂȘtre trĂšs malheureux. C'est le cas d'Alain Delon."Visiblement touchĂ©, l'acteur avait rĂ©pondu "Merci Bernard, c'est trĂšs beau tout ce que vous dites. Et c'est tristement trĂšs juste.""Une peine atroce""J'espĂšre qu'on aura l'occasion de prendre un cafĂ© un de ces jours", avait ajoutĂ© Bernard Tapie... "Avant de partir tous les deux", avait complĂ©tĂ© Alain deux hommes avaient l'un pour l'autre une estime et une admiration mutuelle. Lorsque Bernard Tapie jouait au théùtre, la piĂšce Vol au dessus d'un nid de coucou, Alain Delon Ă©tait venu l'applaudir."Ça m'a fait une peine atroce", a dĂ©clarĂ© Alain Delon ce dimanche, sur LCI, rĂ©agissant Ă  la disparition de l'homme d'affaires. "Je l'aimais beaucoup, on s'adorait, on se parlait souvent, l'un aidait souvent l'autre et ça m'a fait une peine atroce. J'espĂšre qu'il est parti dans son sommeil, qu'il n'a pas souffert, qu'il n'a rien senti."La messe pour les obsĂšques de Bernard Tapie sera cĂ©lĂ©brĂ©e ce vendredi Ă  11h00 Ă  Marseille, Ă  la Major, la cathĂ©drale sainte Marie-Majeure. À la veille des obsĂšques, les Marseillais pourront venir jeudi au stade VĂ©lodrome, le berceau des exploits de l'OM, pour le saluer une derniĂšre fois. Une chapelle ardente y sera installĂ©e, au lendemain d'une premiĂšre messe hommage organisĂ©e Ă  Paris. RĂ©sumĂ© du spectacle Patrick est addict
 au travail Il passe plus de temps dans ses dossiers qu’avec sa femme et son fils. Suite Ă  un malaise, il se retrouve internĂ© en maison de repos. CoupĂ© du monde extĂ©rieur, il n’a ni dossiers, ni ordinateur, ni portable
 Il doit faire face Ă  une psychologue au caractĂšre bien trempĂ©, qui n’a pas la langue dans sa poche. Patrick doit lui prouver qu’il est dĂ©sintoxiquĂ© » du travail, sinon il ne pourra pas sortir et retrouver sa famille
 et son job ! Pour la premiĂšre fois de sa vie il ne doit RIEN faire ! Ça tombe mal il est en passe de rĂ©aliser le plus gros coup de sa carriĂšre ! Ce sĂ©jour forcĂ© a tout l’air de vacances obligatoires
 Avec Bruno BACHOT et Élodie BOULEAU La nouvelle piĂšce de l’auteur du COACH, du BON PLAN, et de TALONS AIGUILLES & CRAMPONS Informations complĂ©mentaires RĂ©servation indispensable quelques jours avant, merci de respecter l'heure d'arrivĂ©e que nous vous communiquons lors de la rĂ©servation. ArrivĂ©e fixĂ©e lors de la rĂ©servation entre 19h et 20h Les DĂźners-Spectacles sont Ă  50€ sauf mention n'acceptons pas les chĂšques restaurant les soirs de dĂźners-spectacles Attention, les places rĂ©glĂ©es pour une date prĂ©cise ne sont ni Ă©changeables ni remboursables ... sauf cas de force majeur!Le prochains spectacles La Manivelle Théùtre dimanche 16 octobre 2022 Ă  17h Bled, Petit Poucet moderne, est le dernier nĂ© d’une famille de sept enfants. Il est celui dont le nom, donnĂ© Ă  la mĂ©moire du grand-pĂšre venu d’ailleurs, porte tout Ă  la fois la marque de l’enracinement et du dĂ©racinement. C’est donc Ă  lui, le plus jeune, que revient la responsabilitĂ© de trouver un nouveau foyer quand la famille se fait expulser. Il doit partir sur les routes. La tĂąche semble tout d’abord le dĂ©passer. Le paysage est hostile et se peuple d’ĂȘtres ambigus. Mais sans abri, sur les chemins, loin de ses frĂšres, Bled est-il vraiment seul ? L’exil sonne l’heure des rencontres avec Ti-Coeur et Shed, et exige d’apprendre Ă  se connaĂźtre soi-mĂȘme. Un texte de Daniel Danis. Mise en scĂšne Florence Bisiaux. Conception collective Antonin Vanneuville, Pierre-Yves Aplincourt, François FrĂ©my, François GĂ©rard. InterprĂ©tation texte et musique live Antonin Vanneuville. La piĂšce Bled de Daniel Danis est Ă©ditĂ©e et reprĂ©sentĂ©e par l’Arche, Ă©diteur et agence théùtrale. CrĂ©ation soutenue par le MinistĂšre de la Culture/Drac Hauts-de-France, la RĂ©gion Hauts-de-France, le DĂ©partement du Nord, le DĂ©partement du Pas-de-Calais, la Ville de Wasquehal, la Ville de Croix, la MĂ©tropole EuropĂ©enne de Lille. DurĂ©e 50 min Lieu CENTRE CULTUREL JACQUES BREL 137, Rue Jean-Baptiste Delescluse - Croix Tarifs 9€ / 7€

c était quand la derniÚre fois piÚce de théùtre